Ce billet aurait pu aussi poser THE QUESTION ultime : "Mais au fait Simone, quelle pintade es-tu ?"
Ce qui l'aurait peut-être fait sourire ou au contraire se hérisser, notre Simone de Beauvoir nationale, parce que La pintade à Paris, vous allez le comprendre en lisant le dernier opus de Layla et Laure, révèle de nombreux visages à qui prend le temps de bien l'observer...
Rassemblez une vingtaine de blogueuses. Modeuses, tchateuses, amoureuses des bons plans et des mots. Faites des équipes, au hasard (ou pas). Lâchez ces mini-meutes aux quatre coins du 11eme arrondissement de Paris, avec des enigmes permettant de vivre / gouter / toucher / regarder des "tranches de vie de pintade parisienne" et vous aurez une pintade puirsuit réussie !
En avant Simone disais-je.
Et oui, notre club des 5 avaient hérité du nom de code "Beauvoir". D'où mes superbes jeux de mots du départ. CQFD.
Au début de l'aventure, les filles cherchent ...
...à la fin de la journée les filles trouvent :
Je ne sais pas encore quelle sorte de pintade parisienne me sied le mieux au teint, bien que la mélodie du chapitre "au vrai chic" s'accorde bien au son de mon bracelet ancres Hermès. Diantre, il se peut que je sois démasquée. Mes habitudes et mes manies sont mises en patûres à tous les quidams ?
En tout cas, toujours avec beaucoup d'humour, de tendresse et de bonne humeur, comme dans les précédents opus de nos anthropologues pintadesques.
Pour finir cette journée : mise en situation.
La pintade parisienne sait être opportuniste et faire preuve de style en tout circonstance. Sauter de son vélib pour atterrir chez les copains et chopper la première coupette de champ' qui lui est proposée.
Trop facile et trop bonne cette vie de pintade !